L’hôtel Overlook est silencieux, glacé, et chaque couloir semble chuchoter des secrets. Un verre de Laphroaig, dense et tourbé, est versé, et la fumée s’élève comme un spectre dans la pièce. Chaque gorgée brûle doucement la gorge, à l’image de la folie croissante de Jack Torrance, intense et inéluctable. La profondeur et le caractère sauvage du whisky amplifient le suspense, plongeant au cœur d’un cauchemar où chaleur et peur se mêlent.
“Quand les premières neiges isolent l’Overlook, l’esprit de ses murs s’éveille. Le froid mord les os, le silence ronge la raison… Et l’appel d’un verre au bar fantôme se fait plus fort.”